Résumé
Rôle essentiel du mouvement syndical en période de crise pour la sauvegarde de la démocratie, en particulier de la liberté de négociation sur les salaires dans le-cadre des conventions collectives, critique du blocage des prix et des revenus, de la circulaire Mauroy ( 10 septembre 1982 ) sur les modalités de sortie du blocage et notamment l'abandon de l'indexation des salaires sur les prix-retards prévisibles dans les négociations salariales et les contrats de modération Etat - entreprises sur les prix. Appel à l'action syndicale, y compris la grève, pour préserver la politique contractuelle, la défense du pouvoir d'achat et la hiérarchie des salaires.<br>- Le chômage : proposition de conventions collectives européennes ( "espace social européen" ), nécessité d'une réglementation rigoureuse de l'immigration ( racisme ) , à dissocier des réfugiés politiques. Pour le financement de l'assurance chômage, protestation contre l'impôt exceptionnel de solidarité non étendu aux non salariés-hausse inévitable des cotisations, désaccord avec le CNPF sur la tentation de s'en remettre à l'Etat, nécessité de préserver l'autonomie du régime.<br>- Sécurité sociale : avis favorable à la "cotisation machine" mais difficulté d'application-protestation contre la remise en cause de la garantie de ressources promise aux préretraités ( retraite à 60 ans ).<br>- L'affaire Lucet : critique de la pratique de "lettre de cachet" du PCF.- 11 VUES