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Le rapport présente des réflexions sur le modèle social du Danemark, qui, ayant réduit de façon drastique sa dette publique, est, en 2004, en excédent budgétaire et a vu le taux de chômage passer, au milieu des années 1990, de 12 % de la population active à 5 % en 2002 et 6,2 % en juin 2004. Pierre Méhaignerie remarque que le marché du travail est extrêmement fluide, flexible, sécurisé, que le consensus social est omniprésent et la flexibilité vécue comme une garantie. L'auteur se demande cependant quelle peut être la pérennité de ce modèle, eu égard notamment au vieillissement de la population.
INTRODUCTION
UNE CONSTRUCTION ORIGINALE
A) UN MARCHE DU TRAVAIL EXCEPTIONNELLEMENT FLUIDE
1. Un taux de chômage exceptionnellement bas
2. Une forte mobilité de la population active
B) UN MARCHE DU TRAVAIL TOTALEMENT FLEXIBLE
1. Un système totalement négocié
2. Un système fortement homogène
C) UN MARCHE DU TRAVAIL LARGEMENT SECURISE
1. L'indemnisation du chômage
2. Un système d'aide sociale efficace
UN CONSENSUS SOCIAL OMNIPRESENT
A) UN « WELFARE STATE » SANS L'ÉTAT ?
1. Le paradoxe danois
2. L'agence de l'emploi
B) LA FLEXISECURITE EST VECUE COMME UNE GARANTIE
C) UNE PERENNITE INCERTAINE
CONCLUSION
EXAMEN EN COMMISSION
LISTE DES PERSONNES RENCONTRÉES
- Autre titre : La flexisécurité du marché du travail au Danemark : un modèle ?
- Type de document : Rapport parlementaire
- Pagination : 31 pages
- Édité par : Assemblée Nationale
- Collection : Documents d'information de l'Assemblée nationale
- Numéro dans la série : 1913