Rapport d'information (…) sur les coûts passés, présents et futurs de la filière nucléaire dans le périmètre du mix électrique français et européen et les conséquences de la fermeture et du démantèlement de réacteurs nucléaires, comme la centrale de Fessenheim - Tome I

Remis le :

Auteur(s) : François Brottes ; Denis Baupin

Auteur(s) moral(aux) : Assemblée nationale

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Créée à la demande du groupe écologiste de l'Assemblée nationale, la commission d'enquête a été saisie du sujet des « coûts passés, présents et futurs de la filière nucléaire, à la durée d'exploitation des réacteurs et à divers aspects économiques et financiers de la production et de la commercialisation de l'électricité nucléaire, dans le périmètre du mix électrique français et européen, ainsi qu'aux conséquences de la fermeture et du démantèlement de réacteurs nucléaires, notamment de la centrale de Fessenheim ». Pour effectuer ses travaux, la commission d'enquête a organisé une série d'auditions, dont les comptes rendus sont disponibles dans un tome II. Elle a également demandé à la Cour des comptes, en application de l'article L.132-4 du code des juridictions financières, d'actualiser plusieurs éléments du rapport qu'elle avait publié en janvier 2012.

AVANT-PROPOS DU PRÉSIDENT FRANÇOIS BROTTES

INTRODUCTION
 

CHAPITRE LIMINAIRE

CHAPITRE 1 : LE NUCLÉAIRE DANS LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE EUROPÉEN

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. LE NUCLÉAIRE DANS LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE EUROPÉEN

1. Comment le prix de l’électricité est-il formé ?

2. L’interconnexion des réseaux des États membres : vers un prix de l’électricité européen

B. LE NUCLÉAIRE EN EUROPE : DES SITUATIONS SIMILAIRES DANS LES DIFFÉRENTS ÉTATS-MEMBRES, DES CHOIX DE POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE DIFFÉRENTS

1. En Allemagne : la fin du parc nucléaire historique à la suite d’une décision politique consécutive à l’accident de Fukushima

2. En Belgique : la prolongation de la durée de vie d’un seul des trois réacteurs les plus anciens par accord entre le Gouvernement et les propriétaires de la centrale

3. Au Royaume-Uni : le lancement du renouvellement du parc nucléaire

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : UN CHOIX POLITIQUE… SOUS CONTRAINTES

1. Des choix divergents entre les États membres qui illustrent le caractère politique des choix de transition énergétique

2. Des contraintes techniques et financières

B. UN DIAGNOSTIC PARTAGÉ SUR LA SITUATION DU SYSTÈME ÉLECTRIQUE EUROPÉEN, DEUX PISTES DE SOLUTION

1. Le diagnostic : un accroissement de la variabilité du système et une pénétration croissante du charbon qui posent la question du modèle de rémunération des capacités de production

2. Deux pistes : introduire un véritable « signal carbone » ou rémunérer la capacité et la flexibilité

C. LE NUCLÉAIRE : UNE ÉCONOMIE « À PART » REQUÉRANT UNE FORTE IMPLICATION DE LA PUISSANCE PUBLIQUE
 

CHAPITRE 2 : L’AMONT DU CYCLE NUCLÉAIRE. ASSURER LA SÉCURITÉ DE L’APPROVISIONNEMENT DU PARC NUCLÉAIRE FRANÇAIS EN TOUTE TRANSPARENCE

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. DES RESSOURCES RELATIVEMENT DIVERSIFIÉES ET ABONDANTES EN URANIUM QUI ASSURENT UNE SÉCURITÉ DE L’APPROVISIONNEMENT ET ENTRETIENNENT DES PRIX ASSEZ BAS

1. Les ressources mondiales

2. L’équilibre offre-demande

B. UNE FAIBLE DÉPENDANCE DU PRIX DE L’ÉLECTRICITÉ NUCLÉAIRE AU PRIX DE L’URANIUM

1. Plusieurs étapes entre la mine et le combustible

2. Un contenu énergétique bien plus important que les ressources fossiles

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. AREVA : UN ACTEUR MONDIAL DE L’AMONT DU COMBUSTIBLE

1. Les activités minières : diversifier les sources d’approvisionnement en uranium

2. Les activités de transformation de l’uranium : gagner des clients grâce à des offres « packagées »

3. La position d’AREVA dans la controverse qui l’a opposé au gouvernement nigérien

B. EDF : UN CLIENT MAJEUR CHERCHANT À RÉDUIRE SA VULNÉRABILITÉ

1. Premier objectif : sécuriser l’approvisionnement en combustible nucléaire

2. Deuxième objectif : sécuriser les prix dans la durée

C. L’ÉTAT : LE RÉGULATEUR D’EDF, L’APPUI D’AREVA
 

CHAPITRE 3 : CHARGES DU PARC EN EXPLOITATION : MAINTENANCE ET SOUS-TRAITANCE

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. LA MAINTENANCE, UN ENJEU MAJEUR POUR LA MAÎTRISE DES COÛTS DU PARC NUCLÉAIRE

1. La qualité des opérations de maintenance, une condition de la sûreté et de la performance économique du parc

2. Après un sous-investissement au début des années 2000, des coûts de maintenance désormais en hausse durable

B. LE RECOURS À LA SOUS-TRAITANCE, UN CHOIX DE POLITIQUE INDUSTRIELLE

1. Les justifications du recours à la sous-traitance

2. La sous-traitance, un phénomène massif

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. EDF N’A PAS ENCORE RECONQUIS LA MAÎTRISE DE LA MAINTENANCE

1. Il n’est pas facile de sortir d’une période de sous-investissement dans l’outil de production

2. La maîtrise des compétences est un enjeu pour tous les acteurs de la filière

B. LA SOUS-TRAITANCE RESTE UN SUJET DE CONTROVERSES

1. Un débat toujours vif sur l’ampleur du recours à la sous-traitance

2. Un effort de remise en ordre nécessaire mais inabouti

3. Une différence de condition entre les travailleurs des prestataires et ceux des exploitants
 
 

CHAPITRE 4 : ÉVOLUTION DU PARC. EDF À UN TOURNANT

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. UN PARC NUCLÉAIRE QUI ENTRE PROGRESSIVEMENT DANS SA QUATRIÈME DÉCENNIE

1. Le parc nucléaire français : un ensemble construit rapidement et par paliers homogènes

2. EDF a fait le choix de prolonger la durée de vie de ses réacteurs significativement au-delà de 40 ans

B. UN PROJET DE PROLONGATION QUI DOIT S’INSCRIRE DANS UN PROCESSUS EXIGEANT D’AMÉLIORATION DE LA SÛRETÉ

1. Le réexamen périodique de sûreté des installations nucléaires

2. L’intégration du retour d’expérience de l’accident de Fukushima

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. LE « GRAND CARÉNAGE », UN PROJET INDUSTRIEL ENTOURÉ DE NOMBREUSES INCERTITUDES

1. Une éventuelle prolongation des réacteurs soumise à des contraintes techniques fortes

2. Un chiffrage du Grand carénage encore difficile à cerner

B. LA CONSTRUCTION D’UN NOUVEAU PARC NUCLÉAIRE, UN INVESTISSEMENT CONSIDÉRABLE

1. L’EPR de Flamanville : une « tête de série » construite dans la douleur, de laquelle il est encore délicat de tirer un retour d’expérience

a. Un chantier très difficile

b. Un coût de l’EPR « modèle Flamanville » peu évident à cerner

2. La palette des options est largement ouverte

a. La conception générale de l’EPR peut être optimisée

b. Les dispositifs de sûreté sont appelés à évoluer

c. Les réacteurs de 1 000 MW pourraient être de réels concurrents

3. Le coût du renouvellement du parc ne semble pas échapper à la « loi d’airain » du nucléaire

C. L’AVENIR DU PARC NUCLÉAIRE, UNE APPROCHE NÉCESSAIREMENT GLOBALE

1. Le débat sur la prolongation des réacteurs doit prendre en compte de nombreux paramètres

a. La pertinence économique de la prolongation est très sensible au chiffrage du Grand carénage

b. La grille d’analyse nécessite cependant d’être enrichie

2. L’État manque encore d’outils adaptés

D. L’ARRÊT DES CENTRALES NUCLÉAIRES, UN ACCOMPAGNEMENT INDISPENSABLE

1. Le démantèlement, une activité essentielle qui ne peut à elle seule compenser l’arrêt d’une installation nucléaire

2. Fessenheim, une reconversion que les pouvoirs publics doivent anticiper et soutenir
 
 

CHAPITRE 5 : CHARGES FUTURES. ÉVALUER CORRECTEMENT LEUR MONTANT ET SÉCURISER LEUR FINANCEMENT

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. DEUX CHARGES FUTURES MAJEURES : LE DÉMANTÈLEMENT DES INSTALLATIONS ET LE STOCKAGE DES DÉCHETS NUCLÉAIRES

1. Le démantèlement

a. Un problème méthodologique : comment mesurer le coût du démantèlement des installations en exploitation ?

b. Les charges brutes de démantèlement

c. Les éléments de comparaison internationale : une première approche de l’évaluation de la crédibilité des estimations

2. La gestion des déchets radioactifs

a. Les différents types de déchets : des volumes différents, des solutions de gestion propres

b. Les charges brutes de gestion future des déchets radioactifs

3. Le cas particulier des déchets les plus nocifs (HA-MAVL)

a. Le stockage en couche géologique profonde : la solution de référence pour la gestion à long terme des déchets hautement radioactifs français

b. Cigéo : un projet de grande envergure dont les étapes sont fixées par la loi

c. Un devis qui a fait l’objet d’une vive controverse entre les exploitants et l’ANDRA

B. UN DISPOSITIF SPÉCIFIQUE DESTINÉ À GARANTIR LE FINANCEMENT DES CHARGES FUTURES SUR LE LONG TERME : LES ACTIFS DÉDIÉS

1. Des charges futures aux provisions : l’importance du taux d’actualisation

2. La couverture des provisions : les actifs dédiés

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. DES ESTIMATIONS DES CHARGES FUTURES ENTOURÉES D’UN ALÉA TRÈS IMPORTANT

1. Des interrogations majeures sur le coût du démantèlement

a. L’inflation du coût du démantèlement des installations à l’arrêt

b. Des facteurs de variabilité dont il est impossible de quantifier les effets sur le coût du démantèlement des installations en exploitation

2. Des angles morts inquiétants dans la gestion de certains déchets radioactifs : les déchets RCD et les résidus miniers

3. L’élaboration du devis de Cigéo paralysée par l’absence d’orientations politiques définitives

a. Deux paramètres fondamentaux aujourd’hui indéterminés

b. Un exercice de chiffrage périlleux, qui réclame la réalisation d’une phase pilote

c. Une évolution inéluctable de la législation

B. FAUT-IL TRANSFÉRER LA GESTION DES ACTIFS DÉDIÉS À UN ACTEUR INDÉPENDANT ?

1. Les arguments en faveur du transfert de la gestion des actifs dédiés à un acteur indépendant

a. Les risques de dépréciation du capital

b. Le report du risque sur la puissance publique

c. L’absence de liquidité

d. La tentation de la dérogation

2. Les arguments en faveur du maintien du système actuel
 
 

CHAPITRE 6 : RETRAITEMENT ET MOX – RÉACTEURS DE 4ÈME GÉNÉRATION

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. LA FRANCE A FAIT LE CHOIX DU RETRAITEMENT ET DU COMBUSTIBLE MOX

1. La gestion du combustible usé : un problème, deux solutions

2. Des acteurs français fortement engagés dans le retraitement et la filière Mox

B. DIFFÉRENTES PISTES DE RECHERCHE POUR UNE « 4ÈME GÉNÉRATION » DE RÉACTEURS

1. Un effort conduit dans une dynamique internationale

2. Les options privilégiées par la France

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. LE RETRAITEMENT ET LE MOX, SUJETS DE JUGEMENTS SOUVENT TRANCHÉS

1. Des appréciations sensiblement divergentes sur l’intérêt économique du retraitement et du Mox

2. Le retraitement et le Mox n’apportent qu’une réponse partielle au problème des déchets

3. L’avenir de la filière doit être apprécié à l’aune de nombreux paramètres

B. UNE FILIÈRE « 4ÈME GÉNÉRATION » QUI DEVRA FRANCHIR DES OBSTACLES IMPORTANTS AVANT DE VOIR LE JOUR

1. Le débat sur la validité des choix techniques français

2. Une divergence de vue sur les objectifs de sûreté

3. Une compétitivité qui restera à démontrer
 
 

CHAPITRE 7 : LE RISQUE NUCLÉAIRE : PASSER DE LA CONCEPTUALISATION À L’ACTION

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. DE NOUVEAUX OUTILS DE GESTION DE CRISE

1. Le cadre antérieur

2. Les innovations post-Fukushima

B. UN SYSTÈME D’INDEMNISATION QUI NE COUVRE QUE PARTIELLEMENT LES RISQUES

1. L’accident nucléaire grave et l’accident nucléaire majeur : des dommages potentiels colossaux

2. Un système d’indemnisation insuffisant pour couvrir les dommages provoqués par un accident nucléaire de grande ampleur

a. L’assurance du risque nucléaire : un système dérivé de la Convention de Paris du 29 juillet 1960

b. Le fonctionnement du système français d’assurance du risque nucléaire

c. Des plafonds d’indemnisation insuffisants qui posent la question de la garantie implicite de l’État

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. DISPOSER DES OUTILS DE GESTION DE CRISE ADÉQUATS : DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE

1. Une territorialisation à peine débutée

2. Une information et une participation des riverains à travailler

3. Une harmonisation européenne nécessaire

4. Des interrogations persistantes

B. PRÉVOIR UNE JUSTE INDEMNISATION DES VICTIMES D’UN ACCIDENT NUCLÉAIRE

1. Des interrogations majeures sur le chiffrage des probabilités d’accident et des coûts d’une catastrophe nucléaire

a. Une probabilité d’un accident majeur sur la durée de vie restante du parc français « de l’ordre de 1 % » ?

b. Des travaux sur l’évaluation des coûts d’un accident à perfectionner

2. Le moins mauvais des systèmes d’assurance : une obligation de provisionnement annuel imposée à l’exploitant

a. Option n° 1 : le statu quo

b. Option n° 2 : mettre en place un mécanisme assuranciel de grande ampleur

c. Option n° 3 : imposer une obligation de provisionnement à l’exploitant
 
 

CHAPITRE 8 : LA PLACE DU NUCLÉAIRE DANS LE MIX ÉNERGÉTIQUE FRANÇAIS

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. LE DÉBAT NATIONAL SUR LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : COMMENT METTRE EN APPLICATION L’ENGAGEMENT PRÉSIDENTIEL DE RÉÉQUILIBRAGE DU MIX ÉLECTRIQUE ?

B. LES CARACTÉRISTIQUES DES PRINCIPAUX SCÉNARIOS

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. APPROCHE 1 : UNE FORTE HAUSSE DE LA DEMANDE EST INÉLUCTABLE, CE QUI REND NÉCESSAIRE LE PROLONGEMENT DU PARC NUCLÉAIRE

1. L’électricité au service d’un objectif prioritaire : la diminution des émissions de gaz à effet de serre

2. L’impossibilité de faire baisser fortement la demande d’énergie requerrait le maintien d’une capacité nucléaire importante

3. Un scénario compatible avec l’engagement présidentiel ?

B. APPROCHE 2 : UNE BAISSE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE EST POSSIBLE, CE QUI REND INUTILE LA PROLONGATION DE L’ENSEMBLE DU PARC NUCLÉAIRE

1. La possibilité de faire baisser fortement la demande d’énergie ouvre la voie à une forte réduction de la part du nucléaire dans le mix électrique

2. Un tel scénario met en avant la création d’emplois locaux, la diminution de la facture énergétique et le renforcement de la résilience du système énergétique

3. Limiter l’utilisation de l’électricité à ses usages « nobles » ?
 
 

CHAPITRE 9 : COMMERCIALISATION DE L’ÉLECTRICITÉ NUCLÉAIRE

I. LES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE

A. LE PRINCIPE DE LA LIBÉRALISATION DES MARCHÉS : LA SUBSTITUTION DES PRIX DE MARCHÉ AUX TARIFS RÉGLEMENTÉS

1. Le tarif : le fondement de l’histoire française de l’électricité

2. L’extinction progressive des tarifs réglementés en application du droit européen

B. LES CONSÉQUENCES DE LA LIBÉRALISATION : LA MISE EN PLACE DE MÉCANISMES COMPLÉMENTAIRES AU MARCHÉ DE GROS

1. Exeltium : développer des instruments alternatifs au marché pour s’assurer d’une source d’approvisionnement pérenne et compétitive

2. L’ARENH : l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique

II. LES APPORTS DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE

A. LE NUCLÉAIRE TOUCHÉ PAR LES DIFFICULTÉS LIÉES AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS SUR LA PLAQUE ÉLECTRIQUE EUROPÉENNE

1. Exeltium : un prix d’enlèvement supérieur au prix de l’ARENH et aux prix de marché

2. Selon EDF, un prix de l’ARENH insuffisant pour couvrir les coûts d’EDF

3. Selon les concurrents d’EDF, le financement des investissements actuels et futurs doit s’étaler sur l’ensemble de la durée de leur utilisation

B. DES ÉLECTRO-INTENSIFS EN DIFFICULTÉ MALGRÉ UN CONTEXTE DE BAISSE DES PRIX DE GROS

1. La France, historiquement bien placée, bientôt reléguée

2. Une augmentation de prix due à l’inflation de tous les postes de la facture

3. Un « bouquet » de solutions ?
 

RECOMMANDATIONS

Enjeux énergétiques et industriels globaux

Enjeux de l’industrie nucléaire

EXAMEN EN COMMISSION

CONTRIBUTIONS DE MEMBRES DE LA COMMISSION ET DE GROUPES POLITIQUES

ANNEXE 1 – LISTE DES PERSONNES ENTENDUES PAR LA COMMISSION D’ENQUÊTE

ANNEXE 2 – LISTE DES PERSONNES ENTENDUES PAR LE RAPPORTEUR

ANNEXE 3 – LISTE DES PERSONNES RENCONTRÉES AU COURS DES DÉPLACEMENTS EFFECTUÉS PAR LA COMMISSION D’ENQUÊTE

ANNEXE 4 – RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES