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A la suite du comité interministériel à l'égalité et la citoyenneté du 13 avril 2016, Thierry Lepaon a été chargé d'une mission de préfiguration en vue de créer une Agence de la langue française pour la cohésion sociale. Il a remis au Premier ministre un rapport formulant des propositions pour la création, dès 2017, d'une agence de la langue française pour la cohésion sociale. L'action de cette agence reposera sur trois piliers : un pilier social" portera les actions de prévention de l'illettrisme et de maîtrise de la langue française, ainsi que l'accès aux savoirs de base pour tous les publics, y compris les migrants non pris en charge par l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII) - un pilier "culturel" concernera les missions de valorisation de la langue française dans le cadre d'une politique linguistique définie par l'Etat - un pilier "éducatif et international" soutiendra la coopération éducative, le rayonnement de la langue française dans le monde, et, le cas échéant, le suivi des dispositifs ou programmes européens."
Préambule
Introduction
I. Des enjeux majeurs et de nouveaux défis à relever
1.1. Un enjeu majeur de cohésion sociale
1.1.1. Réduire la fracture linguistique et numérique
1.1.2. Lever un frein à l’emploi et aux évolutions professionnelles
1.1.3. Accompagner les mobilités professionnelles
1.1.4. Renforcer la formation linguistique des migrants
1.2. Un enjeu démocratique et culturel
1.2.1. Garantir un « droit au français » pour
1.2.2. Rendre plus accessible le langage administratif
1.2.3. Préserver la diversité linguistique
1.2.4. Contribuer à la diffusion et la promotion de la langue française
II. Les principaux constats de la mission de préfiguration
2.1. La diversité des publics et leur segmentation
2.1.1. La grande diversité des publics concernés
2.1.2. Une segmentation des publics qui pose question
2.1.3. Les « zones d’ombre » de la formation linguistique des migrants
2.2. Un bilan en demi-teinte de la lutte contre l’illettrisme
2.2.1. Un nombre de personnes en difficulté avec le français difficile à estimer
2.2.2. Des résultats contrastés au niveau national
2.2.3. Des comparaisons internationales inquiétantes pour notre pays
2.2.4. Des causes multiples et complexes
2.2.5. Un coût global difficile à évaluer
2.3. Un paysage institutionnel dispersé et cloisonné
2.3.1. Une multiplicité d’acteurs peu coordonnés
2.3.2. Les limites de la gouvernance du « GIP ANLCI »
2.3.3. Un réseau territorial faiblement structuré
2.4. Une politique linguistique insuffisamment intégrée
2.4.1. L’emploi et l’usage de la langue française
2.4.2. Le dispositif d’enrichissement de la langue française
2.4.3. Le dispositif de simplification du langage administratif
2.4.4. La diffusion et la promotion du français
- Type de document : Rapport officiel
- Pagination : 153 pages
- Édité par : Premier ministre