Texte intégral
Messieurs les Présidents,
Mesdames, Messieurs,
Je tiens en tout premier lieu à vous dire combien je suis heureuse de recevoir ici ce soir à Bercy, pour la cérémonie de remise du Prix Français de la Qualité, l'ensemble des acteurs de la qualité, aux côtés du Président Pierre GOSSET et de Nicolas BEAURPERE ; et ils sont nombreux : Présidents des associations régionales pour la Qualité, Directeurs Régionaux de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement, évaluateurs et autres bénévoles. Tous, je vous remercie de votre engagement personnel qui contribue au succès de ce prix d'excellence.
Car cette distinction, qui illustre l'importance de la qualité pour nos entreprises, est la récompense d'un effort particulier en ce domaine; et je souhaite, plus spécifiquement aujourd'hui, que ce succès de l'édition 2002 symbolise le renouveau du Mouvement Français pour la Qualité. Dans la relance de cette dynamique de la qualité, je tiens à souligner, très concrètement, que l'Etat entend y prendre toute sa part.
1) En premier lieu, je soulignerai que la manifestation qui nous réunit aujourd'hui illustre toute l'importance de la démarché qualité dans le développement de la compétitivité de nos entreprises.
Les entreprises françaises s'inscrivent aujourd'hui dans un contexte doublement exigeant : d'une part, elles doivent se projeter et se développer à l'échelle européenne ; d'autre part, elles ne survivront qu'en s'adaptant aux conditions d'une concurrence mondiale toujours plus aiguë. Ainsi, de toutes parts surgissent des contraintes fortes en termes de compétitivité.
Le développement de notre compétitivité passe par de nombreuses voies, et je vous en donnerai une illustration immédiatement concrète, avec la politique de soutien à l'innovation industrielle que je présenterai lors du prochain Conseil des Ministres du 11 décembre. En encourageant les investisseurs, en créant un statut de la jeune entreprise innovante, en élargissant le crédit impôt-recherche et en valorisant les résultats de la recherche, il s'agira d'amener nos entreprises sur la voie d'activités nouvelles, de gains de compétitivité accrus et de la maîtrise de secteurs clés du futur.
Dans cette dynamique, qui vise à donner à nos entrepreneurs les moyens de s'imposer dans la compétition économique européenne et mondiale, nul ne doute que la qualité a une place importante. Aussi devons-nous tout faire pour développer encore ce qui s'impose désormais non plus comme une faculté, mais bien comme une véritable exigence de management.
Au-delà de la formalisation des procédures, la maîtrise des processus et la mesure de leur efficacité permettent seules une dynamique d'amélioration permanente. Et la qualité totale s'impose lorsqu'elle s'inscrit au coeur du management.
Celle-ci est d'autant plus nécessaire que la notion de client s'est aujourd'hui singulièrement élargie, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'entreprise.
Pour faire face à la diversité de ces nouvelles exigences, les entreprises sont ainsi amenées à mettre en oeuvre des systèmes de management dits intégrés, prenant en compte, outre le management de la qualité, celui de la sécurité et de l'environnement, voire de l'éthique sociale.
Cet élargissement du champ originel de la qualité constitue certainement une dynamique appropriée pour aborder des problématiques nouvelles, telle que celle du développement durable, sur laquelle vient juste de se réunir un séminaire gouvernemental. On voit ici combien la démarche qualité peut susciter de perspectives dans ses applications.
2) le Prix Français de la Qualité est ainsi la récompense d'un effort particulièrement louable de la part des entreprises
Il permet en effet de distinguer des démarches et des résultats exemplaires, de valoriser, tant au plan régional que national, des entreprises qui, sous l'impulsion de leurs dirigeants, ont su se mobiliser pour un effort commun.
Les lauréats que nous distinguons aujourd'hui servent d'exemple en matière de performances économiques et commerciales, de mise en valeur des compétences professionnelles, de conciliation des attentes des clients et des parties prenantes de l'entreprise. Ils démontrent combien l'application des principes de la qualité totale permet d'accroître la compétitivité à long terme.
Cette distinction doit aussi être un encouragement à franchir les étapes suivantes de l'amélioration continuelle et de la performance, je pense notamment au PRIX Européen de la Qualité.
Car depuis dix ans qu'existe le prix français, c'est la première fois, je voudrais le souligner, que les entreprises concouraient sur les bases du nouveau référentiel PFQ 2001, modifié pour tenir compte des évolutions des entreprises et du management au cours des années et être en convergence avec le modèle européen d'excellence du management qu'est le référentiel EFQM du Prix Européen de la Qualité.
3) dans ce contexte, je souhaite que le succès de l'édition 2002 symbolise le renouveau du Mouvement Français pour la Qualité, dont je salue l'initiative.
Le Mouvement Français de la Qualité a traversé une période difficile. Sa refondation, initiée en 2001 permet aujourd'hui, de donner aux régions toute l'importance et la place qu'elles méritent dans la mission de développement et de diffusion de la qualité, non seulement dans ses options traditionnelles, mais aussi dans ses actuelles évolutions en matière de développement durable.
Le mouvement français pour la qualité s'est offert l'opportunité de bénéficier de toute la dynamique et de tout l'apport en expériences de terrain qui sont le fait des régions.
Oui, c'est aux régions, c'est bien à vous, Mesdames et Messieurs les Présidentes et présidents de région, qu'il appartient d'amener le plus grand nombre d'entreprises dans la voie de la qualité. Et en matière d'organisation, les solutions les plus pragmatiques sont toujours les solutions de sagesse. Voilà pourquoi, je suis avec le plus grand intérêt l'évolution que vous avez dessinée aujourd'hui vers une fédération des régions.
Cette autonomie et cette indépendance nouvelles des régions du Mouvement Français pour la Qualité m'amènent à redéfinir le positionnement des pouvoirs publics.
Vous avez l'intention de créer, au sein du MFQ refondé, un comité stratégique au niveau national, réunissant les régions fédérées, avec l'AFNOR et l'AFAQ ; comme ces deux organismes, nous y serons présents.
4) Et je tiens à vous signifier, aujourd'hui très concrètement, que dans la relance de cette dynamique de la qualité, l'Etat entend assumer pleinement son rôle et encadrer efficacement l'action qui est la vôtre.
L'intérêt du Ministère de l'industrie pour la qualité passe certes par la présence, que je viens d'évoquer, au sein du comité d'orientation stratégique, pour que nous soyons, avec l'AFNOR et l'AFAQ, bien représentés dans ce nouveau lieu de rencontres et de discussions.
Je compte par ailleurs continuer à soutenir directement la diffusion de la qualité dans nos entreprises. Des thèmes nouveaux, je l'ai dit, apparaissent, et conduisent ou conduiront à de nouvelles pratiques managériales , par exemple, pour intégrer des exigences nouvelles en matière de qualité, d'environnement et de sécurité.
Il est essentiel de susciter et soutenir des initiatives favorisant la promotion et la diffusion de nouvelles pratiques managériales, de développer les travaux de recherche en matière de qualité. J'accorde aussi une importance particulière à la diffusion des démarches qualité au sein des PMI.
Il me paraît également nécessaire de soutenir la diffusion de la culture qualité dans les établissements d'enseignement supérieur, car c'est le plus en amont possible qu'il convient d'agir pour être véritablement efficace. L'enseignement de la qualité doit donc trouver sa place dans les cursus de formation initiale.
La procédure AQCEN --Accès à la Qualité, à l'Évaluation de la conformité aux essais et à la normalisation-- gérée par la DiGITIP est, à cet égard, l'instrument privilégié d'une politique d'actions concrètes, qui doit s'inscrire dans le temps et l'efficacité.
Cette efficacité, nous avons décidé de la renforcer d'une manière que je souhaite très opérationnelle : je vous annonce ainsi, très officiellement, que nous venons de constituer, au sein du Groupe Interministériel des Normes,un groupe interministériel de travail relatif à la qualité.
Ce groupe interministériel sera chargé d'anticiper les besoins des entreprises dans le domaine de la qualité, de comprendre les tendances d'évolution, et d'identifier les sujets émergents, qui requièrent les grandes orientations politiques.
Les pouvoirs publics entendent ainsi réaffirmer leur rôle, pour veiller à ce que les entreprises disposent d'un cadre cohérent et pour les encourager à poursuivre leurs efforts dans les différents domaines de la qualité en vue d'accroître leur performance globale.
Ce groupe de travail interministériel doit être considéré comme la manifestation de l'intérêt de l'État, en dehors des structures mises en places par les acteurs mêmes de la qualité, pour les grands enjeux de la qualité.
Sa présidence sera exercée par le ministère délégué à l'Industrie, plus précisément la Direction Générale de l'Industrie, des Technologies de l'Information et des Postes -DiGITIP.
D'ores et déjà de nombreux départements ministériels (parmi lesquels l'Equipement, l'Agriculture, la Défense nationale, l'Intérieur) nous ont fait savoir qu'ils souhaitaient être inscrits, et nous rejoindre, en tant que membres permanents de ce groupe. Je compte bien que sa première réunion, qui aura lieu le 14 janvier prochain, soit le point de départ d'un travail aussi fructueux et large que possible, débouchant sur des mesures concrètes et efficaces.
Le Prix Français de la Qualité a aujourd'hui dix ans. Il a dépassé l'âge de raison, et vous pouvez compter sur les pouvoirs publics pour être à vos côtés pour lui préparer une adolescence heureuse.
De mon côté, je compte sur les acteurs de la qualité pour continuer sans relâche le travail déjà entrepris depuis des années.
Tous ensemble, mettons tous les atouts de notre côté, pour être sur le chemin de l'excellence.
Je vous remercie.
(Source http://www.industrie.gouv.fr, le 19 décembre 2002)
Mesdames, Messieurs,
Je tiens en tout premier lieu à vous dire combien je suis heureuse de recevoir ici ce soir à Bercy, pour la cérémonie de remise du Prix Français de la Qualité, l'ensemble des acteurs de la qualité, aux côtés du Président Pierre GOSSET et de Nicolas BEAURPERE ; et ils sont nombreux : Présidents des associations régionales pour la Qualité, Directeurs Régionaux de l'Industrie, de la Recherche et de l'Environnement, évaluateurs et autres bénévoles. Tous, je vous remercie de votre engagement personnel qui contribue au succès de ce prix d'excellence.
Car cette distinction, qui illustre l'importance de la qualité pour nos entreprises, est la récompense d'un effort particulier en ce domaine; et je souhaite, plus spécifiquement aujourd'hui, que ce succès de l'édition 2002 symbolise le renouveau du Mouvement Français pour la Qualité. Dans la relance de cette dynamique de la qualité, je tiens à souligner, très concrètement, que l'Etat entend y prendre toute sa part.
1) En premier lieu, je soulignerai que la manifestation qui nous réunit aujourd'hui illustre toute l'importance de la démarché qualité dans le développement de la compétitivité de nos entreprises.
Les entreprises françaises s'inscrivent aujourd'hui dans un contexte doublement exigeant : d'une part, elles doivent se projeter et se développer à l'échelle européenne ; d'autre part, elles ne survivront qu'en s'adaptant aux conditions d'une concurrence mondiale toujours plus aiguë. Ainsi, de toutes parts surgissent des contraintes fortes en termes de compétitivité.
Le développement de notre compétitivité passe par de nombreuses voies, et je vous en donnerai une illustration immédiatement concrète, avec la politique de soutien à l'innovation industrielle que je présenterai lors du prochain Conseil des Ministres du 11 décembre. En encourageant les investisseurs, en créant un statut de la jeune entreprise innovante, en élargissant le crédit impôt-recherche et en valorisant les résultats de la recherche, il s'agira d'amener nos entreprises sur la voie d'activités nouvelles, de gains de compétitivité accrus et de la maîtrise de secteurs clés du futur.
Dans cette dynamique, qui vise à donner à nos entrepreneurs les moyens de s'imposer dans la compétition économique européenne et mondiale, nul ne doute que la qualité a une place importante. Aussi devons-nous tout faire pour développer encore ce qui s'impose désormais non plus comme une faculté, mais bien comme une véritable exigence de management.
Au-delà de la formalisation des procédures, la maîtrise des processus et la mesure de leur efficacité permettent seules une dynamique d'amélioration permanente. Et la qualité totale s'impose lorsqu'elle s'inscrit au coeur du management.
Celle-ci est d'autant plus nécessaire que la notion de client s'est aujourd'hui singulièrement élargie, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'entreprise.
Pour faire face à la diversité de ces nouvelles exigences, les entreprises sont ainsi amenées à mettre en oeuvre des systèmes de management dits intégrés, prenant en compte, outre le management de la qualité, celui de la sécurité et de l'environnement, voire de l'éthique sociale.
Cet élargissement du champ originel de la qualité constitue certainement une dynamique appropriée pour aborder des problématiques nouvelles, telle que celle du développement durable, sur laquelle vient juste de se réunir un séminaire gouvernemental. On voit ici combien la démarche qualité peut susciter de perspectives dans ses applications.
2) le Prix Français de la Qualité est ainsi la récompense d'un effort particulièrement louable de la part des entreprises
Il permet en effet de distinguer des démarches et des résultats exemplaires, de valoriser, tant au plan régional que national, des entreprises qui, sous l'impulsion de leurs dirigeants, ont su se mobiliser pour un effort commun.
Les lauréats que nous distinguons aujourd'hui servent d'exemple en matière de performances économiques et commerciales, de mise en valeur des compétences professionnelles, de conciliation des attentes des clients et des parties prenantes de l'entreprise. Ils démontrent combien l'application des principes de la qualité totale permet d'accroître la compétitivité à long terme.
Cette distinction doit aussi être un encouragement à franchir les étapes suivantes de l'amélioration continuelle et de la performance, je pense notamment au PRIX Européen de la Qualité.
Car depuis dix ans qu'existe le prix français, c'est la première fois, je voudrais le souligner, que les entreprises concouraient sur les bases du nouveau référentiel PFQ 2001, modifié pour tenir compte des évolutions des entreprises et du management au cours des années et être en convergence avec le modèle européen d'excellence du management qu'est le référentiel EFQM du Prix Européen de la Qualité.
3) dans ce contexte, je souhaite que le succès de l'édition 2002 symbolise le renouveau du Mouvement Français pour la Qualité, dont je salue l'initiative.
Le Mouvement Français de la Qualité a traversé une période difficile. Sa refondation, initiée en 2001 permet aujourd'hui, de donner aux régions toute l'importance et la place qu'elles méritent dans la mission de développement et de diffusion de la qualité, non seulement dans ses options traditionnelles, mais aussi dans ses actuelles évolutions en matière de développement durable.
Le mouvement français pour la qualité s'est offert l'opportunité de bénéficier de toute la dynamique et de tout l'apport en expériences de terrain qui sont le fait des régions.
Oui, c'est aux régions, c'est bien à vous, Mesdames et Messieurs les Présidentes et présidents de région, qu'il appartient d'amener le plus grand nombre d'entreprises dans la voie de la qualité. Et en matière d'organisation, les solutions les plus pragmatiques sont toujours les solutions de sagesse. Voilà pourquoi, je suis avec le plus grand intérêt l'évolution que vous avez dessinée aujourd'hui vers une fédération des régions.
Cette autonomie et cette indépendance nouvelles des régions du Mouvement Français pour la Qualité m'amènent à redéfinir le positionnement des pouvoirs publics.
Vous avez l'intention de créer, au sein du MFQ refondé, un comité stratégique au niveau national, réunissant les régions fédérées, avec l'AFNOR et l'AFAQ ; comme ces deux organismes, nous y serons présents.
4) Et je tiens à vous signifier, aujourd'hui très concrètement, que dans la relance de cette dynamique de la qualité, l'Etat entend assumer pleinement son rôle et encadrer efficacement l'action qui est la vôtre.
L'intérêt du Ministère de l'industrie pour la qualité passe certes par la présence, que je viens d'évoquer, au sein du comité d'orientation stratégique, pour que nous soyons, avec l'AFNOR et l'AFAQ, bien représentés dans ce nouveau lieu de rencontres et de discussions.
Je compte par ailleurs continuer à soutenir directement la diffusion de la qualité dans nos entreprises. Des thèmes nouveaux, je l'ai dit, apparaissent, et conduisent ou conduiront à de nouvelles pratiques managériales , par exemple, pour intégrer des exigences nouvelles en matière de qualité, d'environnement et de sécurité.
Il est essentiel de susciter et soutenir des initiatives favorisant la promotion et la diffusion de nouvelles pratiques managériales, de développer les travaux de recherche en matière de qualité. J'accorde aussi une importance particulière à la diffusion des démarches qualité au sein des PMI.
Il me paraît également nécessaire de soutenir la diffusion de la culture qualité dans les établissements d'enseignement supérieur, car c'est le plus en amont possible qu'il convient d'agir pour être véritablement efficace. L'enseignement de la qualité doit donc trouver sa place dans les cursus de formation initiale.
La procédure AQCEN --Accès à la Qualité, à l'Évaluation de la conformité aux essais et à la normalisation-- gérée par la DiGITIP est, à cet égard, l'instrument privilégié d'une politique d'actions concrètes, qui doit s'inscrire dans le temps et l'efficacité.
Cette efficacité, nous avons décidé de la renforcer d'une manière que je souhaite très opérationnelle : je vous annonce ainsi, très officiellement, que nous venons de constituer, au sein du Groupe Interministériel des Normes,un groupe interministériel de travail relatif à la qualité.
Ce groupe interministériel sera chargé d'anticiper les besoins des entreprises dans le domaine de la qualité, de comprendre les tendances d'évolution, et d'identifier les sujets émergents, qui requièrent les grandes orientations politiques.
Les pouvoirs publics entendent ainsi réaffirmer leur rôle, pour veiller à ce que les entreprises disposent d'un cadre cohérent et pour les encourager à poursuivre leurs efforts dans les différents domaines de la qualité en vue d'accroître leur performance globale.
Ce groupe de travail interministériel doit être considéré comme la manifestation de l'intérêt de l'État, en dehors des structures mises en places par les acteurs mêmes de la qualité, pour les grands enjeux de la qualité.
Sa présidence sera exercée par le ministère délégué à l'Industrie, plus précisément la Direction Générale de l'Industrie, des Technologies de l'Information et des Postes -DiGITIP.
D'ores et déjà de nombreux départements ministériels (parmi lesquels l'Equipement, l'Agriculture, la Défense nationale, l'Intérieur) nous ont fait savoir qu'ils souhaitaient être inscrits, et nous rejoindre, en tant que membres permanents de ce groupe. Je compte bien que sa première réunion, qui aura lieu le 14 janvier prochain, soit le point de départ d'un travail aussi fructueux et large que possible, débouchant sur des mesures concrètes et efficaces.
Le Prix Français de la Qualité a aujourd'hui dix ans. Il a dépassé l'âge de raison, et vous pouvez compter sur les pouvoirs publics pour être à vos côtés pour lui préparer une adolescence heureuse.
De mon côté, je compte sur les acteurs de la qualité pour continuer sans relâche le travail déjà entrepris depuis des années.
Tous ensemble, mettons tous les atouts de notre côté, pour être sur le chemin de l'excellence.
Je vous remercie.
(Source http://www.industrie.gouv.fr, le 19 décembre 2002)