Résumé
La politique gouvernementale : inquiétude des Français, qui désiraient une social-démocratie, face aux réformes révolutionnaires prévues-dénonciation du dogmatisme des nationalisations ( position favorable à la nationalisation de la sidérurgie, de l'informatique, de la machine-outil et du textile mais opposition à celles de PUK et Rhône Poulenc )-position favorable à un recours au déficit budgétaire en période de crise-volonté de négocier avec le gouvernement, pas d'ordres de grève avant les décisions gouvernementales.<br>- Les propositions de la CGC : solidarité nationale de type vertical à travers l'impôt, consentie par toutes les catégories sociales sur la base de la concertation-financement de la Sécurité sociale par une taxe sur la valeur ajoutée ou le chiffre d'affaires des entreprises ou bien par une cotisation des salariés du secteur public et des non salariés à l'assurance chômage ( opposition à l'accroissement général des cotisations ) économies et meilleure gestion n otamment dans le secteur hospitalier-négociation sur le partage du coût éventuel de la réduction du temps de travail ( possibilité d'éviter la réduction des salaires par l'augmentation de la durée d'utilisation des machines, insuffisance de la réduction à 39 h pour créer des emplois )-avancement de lâge de la retraite pour les carrières pénibles, mise en garde contre l'avancement général de la retraite-politique industrielle avec investissements dans les créneaux de haute technicité, créateurs d'emploi et compétitifs ( machine-outil ) et actions de soutien pour les secteurs traditionnels en difficulté ( nécessité de licenciements dans le textile, la sidérurgie, l'automobile avec un plan social préalable )-consolidation du SME et éventuel réajustement concerté des monnaies.- 3 VUES