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Dans le secteur maritime, la transition écologique constitue un enjeu financier majeur. Le périmètre couvert par la finance bleue est ainsi très large : décarbonation du transport, énergies marines, zéro pollution, régénération des ressources, solutions fondées sur la nature pour protéger les côtes et séquestrer du carbone, biotechnologies bleues durables (algues, aquaculture, technologies de la protection/exploration marine), pêche durable et éco-tourisme. Toutes ces activités concourent à financer durablement l’écosystème maritime en répondant à un objectif : transformer la décarbonation et l’exploitation durable des ressources marines.
De plus, au regard de l’attractivité de la mer, le potentiel de croissance de ce nouveau pan de la finance est très important auprès des institutions financières et offre une réelle opportunité aux acteurs de cette nouvelle « finance bleue ».
Synthèse
I. Périmètre de la finance bleue : feuilles de route technologiques des objets/filières à financer
Décarbonation des navires
Verdissement des ports
Energies marines renouvelables
Bioéconomie marine durable
II. Construire un continuum de solutions de financement
Une plateforme collaborative publique/privée pour fluidifier l’accès aux sources de financement
Concentrer les financements R&D en faveur du navire du futur
Structurer et développer le marché français du capital risque en faveur de l’économie bleue
Renforcer les atouts de la place financière parisienne en matière de financement du shipping via un instrument de garantie
Des banques françaises leaders européens, mais dans une position, en réalité, fragile
Quel(s) instruments de garantie public/privé pour mobiliser du financement bancaire pour le verdissement des navires ?
III. La nouvelle frontière de la finance bleue : la biodiversité
IV. Références
V. Annexes
- Type de document : Rapport officiel
- Pagination : 46 pages
- Édité par : Ministère de la mer