Entre 1870 et 1975, date de la loi Veil qui a dépénalisé l'IVG, plus de 11 660 personnes ont été condamnées pour avoir pratiqué ou eu recours à un avortement. La proposition de loi vise à réhabiliter ces femmes et les personnes qui les ont aidées, afin de réparer une injustice et restaurer leur dignité.
La Direction générale des entreprises a publié, en partenariat avec Bpifrance, l'édition 2025 du baromètre sur l’entrepreneuriat des femmes en France. Cette année, l'outil mesure la contribution des entrepreneures aux enjeux sociétaux actuels, notamment le développement durable.
91% des victimes de violences sexistes ou sexuelles (VSS) dans les transports en commun sont des femmes. Les transports franciliens sont particulièrement pointés avec 7 femmes sur 10 qui déclarent avoir déjà été victimes de ce type de violences dans les transports d'Île-de-France.
Santé publique France a publié un état des lieux des maladies cardiovasculaires en 2022. Infarctus, accident vasculaire cérébral (AVC)... les nouveaux chiffres montrent l'ampleur de ces pathologies, deuxième cause de mortalité en France. Améliorer la prévention, notamment chez les femmes, permettrait de réduire l'impact de ces maladies.
Le Défenseur des droits publie une étude sur l’accueil du public dans les services de police et de gendarmerie. Des problèmes persistent, notamment dans l’accueil des populations vulnérables et les moyens sont insuffisants en ce qui concerne l'accueil des femmes victimes de violences sexuelles et sexistes.
En quelle année les femmes ont-elles obtenu le droit de vote ? Qu’autorise la loi Veil à partir de 1975 ? 10 questions pour tester vos connaissances sur l'histoire des droits des femmes !
La loi pénale définit aujourd'hui le viol sans faire référence à l'absence de consentement de la victime. Elle vise les actes de l'auteur qui doit avoir usé de violence, contrainte, menace ou surprise. À l'instar d'autres pays européens, la loi française devrait-elle intégrer l'absence de consentement de la victime dans sa définition du viol ?
Les services de police et de gendarmerie nationales ont enregistré 450 100 victimes de violences physiques en 2024 (hors homicides et tentatives d’homicides), soit une augmentation de 1% par rapport à 2023. Quant au nombre de victimes de violences sexuelles, il a augmenté de 7% en 2024 par rapport à 2023, avec 122 600 victimes.