Pour lire les formats PDF et ePub vous avez besoin d’un lecteur adapté.
M. Adrien Gouteyron, rapporteur spécial de la mission « action extérieure de l'Etat », a souhaité vérifier si la LOLF, entrée en vigueur le 1er janvier 2006, avait permis de simplifier et de moderniser la gestion du réseau français à l'étranger. Il constate, au terme d'un contrôle sur pièces et sur place effectué en application de l'article 57 de la LOLF l'ayant conduit dans cinq ambassades, que les conditions ne sont pas réunies, sur le terrain, pour tirer parti de la LOLF. S'il relève un certain nombre de points positifs, il note une absence, la logique de performance, et un oubli, la fongibilité des crédits. Selon le rapporteur, celle-ci doit pourtant permettre aux gestionnaires de dégager des gains de productivité, et de les récompenser en leur permettant d'affecter une partie de ces gains dans l'amélioration du fonctionnement de leur service. Il s'attache à montrer dans quelles conditions la LOLF pourrait avoir des effets positifs sur la gestion des services déconcentrés à l'étranger.
.
- Autre titre : La LOLF peut-elle produire une modernisation des administrations ? Le cas des services de l'Etat à l'étranger
- Type de document : Rapport parlementaire
- Pagination : 60 pages
- Édité par : Sénat
- Collection : Les Rapports du Sénat
- Numéro dans la série : 272