Résumé
L'échec du sommet de Copenhague et la position de la France pour le sommet de Bruxelles de février 1988 : financement de la PAC, marché communautaire (position favorable à l'instauration d'une taxe sur les oléagineux, à l'incorporation des céréales dans l'alimentation animale, au soutien des utilisations industrielles des matières premières agricoles notamment du bioéthanol), stabilisateurs du marché agricole (priorité à une politique de soutien par les prix), négociations internationales (la nécessaire adoption de mesures de stabilisation par tous les pays adhérents au GATT, la défense des parts de marché de la CEE, la contribution de la CEE du développement).<br>- La préparation du marché unique européen de 1992 au niveau communautaire (libérer la commercialisation des denrées alimentaires et les prestations de services, développer la politique de l'environnement et de la concurrence) et au niveau national (renforcement de la compétitivité des exploitations, amélioration de la politique de formation des hommes, projet de loi pour la modernisation de l'agriculture).<br>- Autres sujets abordés : les problèmes de l'agriculture des DOM, les quotas laitiers, la compensation des handicaps des régions défavorisées (annonce d'une conférence pour la mi-février 1988).- 16 VUES