Rapport d'information déposé (...) par la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire sur la nouvelle chaîne publique d'information en continu : enjeux et financement

INTRODUCTION

PREMIÈRE PARTIE : L’EMPREINTE DU SERVICE PUBLIC DANS L’OFFRE D’INFORMATION CONTINUE : LA MUTUALISATION DES COMPÉTENCES AU SERVICE DE LA QUALITÉ

I. LA GENÈSE : UN PROJET AU CŒUR DE LA STRATÉGIE DE LA NOUVELLE PRÉSIDENCE DE FRANCE TÉLÉVISIONS

A. LES OBJECTIFS DE LA NOUVELLE CHAÎNE D’INFORMATION EN CONTINU

B. UN PROJET PRÉCONISÉ DANS DE PRÉCÉDENTS RAPPORTS

1. Le rapport Schwartz

2. Le rapport d’information de l’Assemblée nationale sur le modèle économique de l’audiovisuel public au 21^e siècle

C. DES DÉLAIS EXTRÊMEMENT COURTS DE MISE EN œUVRE, SOURCE D’INQUIÉTUDES ET DE DIFFICULTÉS

II. LA VALORISATION DES COMPÉTENCES : L’APPORT ÉDITORIAL DE CHAQUE OPÉRATEUR POUR UNE INFORMATION EN CONTINU « DÉCRYPTÉE »

A. LE SERVICE PUBLIC : UNE PLACE DÉJÀ TRÈS AFFIRMÉE DANS LE DOMAINE DE L’INFORMATION

1. L’information en continu : l’expérience de France Info et de France 24

2. L’offre d’information de France Télévisions : une place prédominante dans l’univers audiovisuel

B. UN APPORT ÉDITORIAL PERMETTANT DE VALORISER LES CONTENUS ET LES SAVOIR-FAIRE

1. Les grandes lignes de l’ambition éditoriale de la chaîne d’information

2. L’apport éditorial de chaque opérateur

a. La responsabilité éditoriale de la direction de France Télévisions

b. Radio France

c. France Médias Monde

d. L’Institut national de l’audiovisuel

III. L’ANCRAGE NUMÉRIQUE DE LA CHAÎNE : L’INCONTOURNABLE CONVERGENCE DES MÉDIAS AU SERVICE DE L’INFORMATION

A. LES MODÈLES ÉTRANGERS

1. La RTBF : un modèle précurseur en matière de « cross media » ⁽⁾

2. La réussite incontestée de la logique multi-support de la chaîne Al Jazeera

B. LES AMBITIONS DE L’OFFRE D’INFORMATION EN CONTINU

1. Le choix du média global

2. Les difficultés de mise en œuvre de la convergence numérique entre France Télévisions et Radio France : les incertitudes sur la ligne éditoriale numérique

C. LA NÉCESSITÉ DE MAINTENIR UNE DIFFUSION HERTZIENNE

1. Le téléviseur n’est pas encore obsolète

2. Les enjeux de la préemption de fréquence en vue de la diffusion hertzienne

 

DEUXIÈME PARTIE : L’IMPACT DE LA CHAÎNE D’INFORMATION PUBLIQUE SUR L’ENVIRONNEMENT CONCURRENTIEL

I. LES TROIS CHAÎNES D’INFORMATION PRIVÉES : ÉTAT DES LIEUX

A. BFM TV : UNE POSITION DE LEADER INCONTESTÉ

1. Présentation générale de la chaîne

2. Ligne éditoriale issue de la convention avec le CSA

B. I-TÉLÉ : LA RECHERCHE D’UN POSITIONNEMENT DIFFÉRENCIANT

1. Présentation générale de la chaîne

2. Ligne éditoriale issue de la convention avec le CSA

C. LCI : LA PIONNIÈRE DES CHAÎNES D’INFORMATION EN CONTINU À L’ÉPREUVE DE LA TNT GRATUITE

1. Un passage en clair en avril 2016 reposant sur un tournant éditorial

2. L’évolution de la position du CSA entre 2014 et 2015 : éléments d’explications

II. L’ARRIVÉE DE LA CHAÎNE D’INFORMATION PUBLIQUE : UN IMPACT CONCURRENTIEL DIFFICILE À ÉVALUER

A. UN MODÈLE ÉCONOMIQUE DES CHAÎNES PRIVÉES FORTEMENT SENSIBLE AUX AUDIENCES

1. Un budget financé à 99 % par les recettes publicitaires

a. Le bilan financier des trois chaînes privées

b. La dépendance aux audiences

2. Le micro-marché des chaînes d’information : une audience globale stable depuis quelques années et très sensible aux pics d’actualité

a. Le phénomène des pics d’audience : très caractéristique des chaînes d’information en continu

b. L’évolution de la tendance moyenne de 2007 à 2014 : stabilité et prédominance de BFM TV

3. L’arrivée d’une quatrième chaîne d’information, quel risque de transferts d’audience ?

a. Le cas général : la baisse des audiences face à l’arrivée des nouvelles chaînes sur la TNT

i. Les transferts de part d’audience

ii. L’impact au regard de la durée d’écoute individuelle

b. Les exemples étrangers dans le domaine de l’offre d’information en continu : la confirmation d’un risque potentiel de déversement lié au plafond d’audience global

i. Le champ de l’étude comparative : les chaînes nationales gratuites d’information en continu

ii. Des audiences contrastées selon les pays

B. UN NOUVEL ÉQUILIBRE CONCURRENTIEL QUI DEMEURE DIFFICILEMENT PRÉVISIBLE

a. L’absence de publicité : maintien des équilibres ou avantage concurrentiel ?

b. Les autres éléments qui sont à prendre en compte

i. La numérotation : un élément de l’équilibre concurrentiel qui ne favorise pas la nouvelle chaîne du service public

ii. La notoriété du service public

iii. La question de la promotion croisée

 

TROISIÈME PARTIE : LE FINANCEMENT DE LA CHAÎNE PUBLIQUE D’INFORMATION EN CONTINU

I. UN FINANCEMENT PRÉVISIONNEL FONDÉ SUR LES SYNERGIES

A. ÉLÉMENTS DE MÉTHODE : UNE ÉVALUATION DU SURCOÛT ET NON À COÛT COMPLET

B. LA GESTION DES EFFECTIFS : LE PRINCIPAL POSTE DE DÉPENSES

1. Le besoin de personnel dédié à la chaîne d’information

2. La mobilisation non évaluable des équipes non dédiées mais contribuant à la chaîne d’information : le point d’achoppement de l’évaluation

a. La mutualisation au sein de France Télévisions

b. Radio France

c. L’INA et France Médias Monde

C. DES DÉPENSES D’INVESTISSEMENT LIMITÉES GRÂCE À LA VALORISATION DES MOYENS TECHNIQUES EXISTANTS

II. LE SURCOÛT SUPPORTÉ PAR CHAQUE PARTENAIRE ET SES MODALITÉS DE FINANCEMENT

A. ÉVALUATION ET MODALITÉS DE FINANCEMENT DU SURCOÛT TOTAL

B. LA CRÉATION D’UN BESOIN DE FINANCEMENT POUR FRANCE TÉLÉVISIONS

C. UN SURCOÛT COMPATIBLE AVEC LE RESPECT DE LA TRAJECTOIRE DU COM POUR RADIO FRANCE ?

D. UN SURCOÛT NEUTRE POUR LE BUDGET DE FMM

E. UN SURCOÛT POUR L’INA COMPENSÉ PAR FRANCE TÉLÉVISIONS, HORS COÛTS EXTERNES

 

PRÉCONISATIONS ET PROPOSITIONS

EXAMEN EN COMMISSION

ANNEXE N° 1 : LE TRAITEMENT DE L’INFORMATION SUR LES CHAÎNES DE FRANCE TÉLÉVISIONS

ANNEXE N° 2 : LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES PAR LE RAPPORTEUR